Echos du WCPD 2013 (Madrid, 25-27 septembre).
Plusieurs pistes sont explorées en vue de prévenir la dermatite atopique, mais aucune d’entre elles n’a jusqu’ici permis de dégager de messages clairs en termes d’attitude pratique. Il est en revanche clairement établi que les mutations du gène codant pour la filaggrine constituent un facteur favorisant majeur de l’affection. Ces mutations entraînent une altération de la barrière cutanée susceptible de prédisposer aux allergies alimentaires. Published ahead of print.
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