Près de trois quarts des adolescents en Australie sont affectés par des symptômes cliniquement significatifs de dépression ou d’anxiété, la majorité souffrant de troubles chroniques.
Il semble que l’échelle DLQI (Dermatology Life Quality Index) ne permette pas d’évaluer avec suffisamment de précision l’impact du psoriasis en termes d’anxiété et de dépression.
Une revue systématique et une méta-analyse tendent à infirmer l’hypothèse d’un lien entre isotrétinoïne et dépression.
Skin Vol. 28 N° 1
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